
Calmann-Lévy
21/09/2022
Collection : Robert Pépin présente…
Titre original : Past Tense
Traduit de l’anglais par Elsa Maggion
432 pages
EAN : 9782702180013
Quatrième de couverture :
Reacher part sur les traces de son père.
Debout au bord d’une route, le pouce levé, Jack Reacher a la ferme intention de traverser les États-Unis en stop. Mais dans les bois de la Nouvelle-Angleterre, un panneau lui indique une ville au nom familier : Laconia, où son père est né. Il décide de faire le détour et découvre qu’aucun Reacher n’y a jamais vécu. Lui a-t-on menti?
Non loin de là, un couple de jeunes Canadiens tombe en panne et échoue dans un motel. Les propriétaires promettent de les aider à repartir. Mais ces derniers disent-ils toute la vérité ?
Les chemins de tous ces personnages vont se croiser dans de terribles circonstances, car la mort rôde dans les parages… et Reacher, fidèle à lui-même, va devoir s’en mêler.
Mon commentaire :
Les temps du passé de Lee Child est un thriller de facture assez classique qui m’a fait passer un agréable moment de lecture. Jack Reacher, dont l’ouïe et la vision sont aiguisées et les capacités d’analyse sur-développées, est un peu un superman, sauveur sans pitié et bagarreur au coup de poing implacable.
D’un côté un jeune couple de canadiens en route pour vendre le contenu d’une énorme valise, se retrouve coincé au milieu de nulle-part, dans un motel aux propriétaires pour le moins étranges, leur voiture en panne. De l’autre Jack Reacher, qui traverse les États-Unis en stop, se retrouve près de la petite ville où son père est né. Il en profite pour se renseigner sur ses ancêtres. Si l’intrigue se met lentement en place et que l’on se doute bien que les deux histoires vont se croiser, on sent la tension monter crescendo tout au long du récit.
Les temps du passé, tome 24 des aventures de Jack Reacher, est ma première rencontre avec l’auteur Lee Child et son héros récurrent pour lequel j’aurais peut-être eu plus d’empathie si j’avais lu les précédents tomes. Cet opus est un tout, si bien ficelé qu’il ne nécessite pas la lecture des précédents. Il me donne envie de retrouver Reacher dans d’autres aventures, mais peut-être pas les 24 !

Merci aux éditions Calmann-Lévy
et à Babelio
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